La beauté du métro pétersbourgeois, ce n’est pas seulement les passagères, c’est aussi certaines stations, pépites d’art et d’architecture socialiste.
Superbe ruine perchée au-dessus du Danube, à quelques encablures de la frontière autrichienne, le château de Devin ravira les amateurs d’histoire, de légendes et de vues fascinantes.
Situées à une trentaine de kilomètres de Bratislava, au cœur d’une région viticole, ces deux villes offrent une vision plus calme de la Slovaquie que la capitale.
Bienvenue à Trnava, dont les superbes remparts abritent sept églises catholiques, une église protestante et deux anciennes synagogues. C’est la « petite Rome » de la Slovaquie.
La capitale de la Slovaquie, jolie et à taille humaine, se visite facilement en une journée, avec une bière pas chère pour tenir le coup.
De la pyramide inversée de la maison de la radio, à un pont en forme d’ovni, l’héritage communiste de Bratislava ne se retrouve pas seulement dans les bas-reliefs qui parsèment la ville.
Ou comment une bureaucratie n’ayant pas évolué depuis l’époque soviétique a failli me faire abandonner mes projets de voyage.
La deuxième plus grande ville d’Italie n’est pas aussi intéressante que Rome ou Florence. Ça tombe bien, je n’ai pas beaucoup de temps à lui accorder.
Détruite à 80% pendant la seconde guerre mondiale, Munich s’est rapidement reconstruite pour devenir le centre économique de l’Allemagne du sud. Entre les bâtiments historiques reconstitués à l’identique et les immeubles de bureaux, c’est une ville qui regarde tout autant vers le passé que vers le futur.
A quelques kilomètres du centre-ville de Munich, le palais d’été des princes électeurs fait une excursion d’une demie-journée parfaite.