Ou comment une bureaucratie n’ayant pas évolué depuis l’époque soviétique a failli me faire abandonner mes projets de voyage.
La fête des travailleurs est le jour le plus important du calendrier cubain. Des centaines de milliers de personnes défilent dans toutes les villes du pays.
L’autoroute nous conduit de la ville du Che aux missiles de la crise d’octobre 1962, au musée du rhum et à celui de la révolution.
Il n’y est pas né, n’y a pas vécu et n’y est pas mort, mais Ernesto Guevara a mené une attaque décisive à Santa Clara. La ville est donc dédiée à sa mémoire.
De nombreuses sucreries (ingenios) abandonnées émaillent les alentours de Trinidad et promettent une promenade pittoresque.
Cienfuegos et Trinidad ne pourraient être plus différentes. Leur point commun : être de vrais musées en plein air, figés dans le temps.
La baie des cochons, dans le sud du pays, fut l’un des épisodes les plus glorieux de la révolution cubaine : la mise en échec de l’invasion contre-révolutionnaire soutenue par les Etats-Unis.
L’enfer : l’aéroport de La Havane. Le paradis : boire un verre sur le front de mer.
La deuxième plus grande ville d’Italie n’est pas aussi intéressante que Rome ou Florence. Ça tombe bien, je n’ai pas beaucoup de temps à lui accorder.
Capitale de l’Etat de Bolívar, au sud-est du pays, Ciudad Bolívar est l’une des plus anciennes cités d’Amérique latine.