Autre région administrative chinoise, à quelques encablures de Hong-Kong, Macao est surnommée « l’Enfer du jeu ». En 2017, elle a brassé 4,5 fois plus d’argent que Las Vegas ! Mais je m’y suis surtout ennuyé, malgré son intérêt architectural.
Prenez une cuillère de Londres, une louche de Shanghai, une pincée du reste du monde, et vous obtenez Hong-Kong, mégalopole mondiale, symbole capitaliste dans un pays communiste, une ville de tous les contrastes passionnante à découvrir.
Le monastère de Po Lin et son Bouddha de douze mètres de haut impressionnent ; tandis que l’authentique village de Tai O permet de remonter un peu dans le temps.
Pas de métro, pas de taxis, pas de gratte-ciels, de businessmen ou de touristes : pour quelques heures, nous avons eu l’impression d’être à des centaines de kilomètres de Hong-Kong.
La grande rivale de Granada est la capitale artistique et révolutionnaire du Nicaragua. Sa cathédrale est la plus grande et (paraît-il) la plus belle d’Amérique centrale.
C’est l’attraction n°1 au Nicaragua pour les amateurs de sports extrêmes : descendre à toute berzingue (le record est à 90km/h) la pente d’un volcan actif, sur une planche de bois. Sensations fortes garanties.
L’île d’Ometepe, formée par deux volcans surplombant le lac Nicaragua, était considérée par les Aztèques comme la terre promise. C’est l’une des plus belles destinations du Nicaragua.
Granada est la ville la plus touristique du Nicaragua, et cela se comprend. Cette ancienne ville coloniale, sur les bords du lac Nicaragua, a tout pour attirer les visiteurs.
Promue avec de belles photos de lave en fusion, cette excursion depuis Granada vend du rêve. La réalité est beaucoup plus ennuyeuse.
Surplombant la ville de Granada, le volcan Monbacho compte plusieurs sentiers de randonnée offrant possiblement des vies fantastiques sur la ville. Perdu dans les nuages, nous n’en avons pas profité, mais la balade aurait tout de même ravi Arthur Conan Doyle.