La capitale biélorusse est surnommée la ville phénix car, détruite intégralement à 17 reprises, elle a toujours su renaître de ses cendres. Sa dernière destruction massive, pendant la seconde guerre mondiale, a permis aux architectes soviétiques d’en faire une ville modèle… selon leurs critères.
Bonne nouvelle, depuis peu, les Français désirant se rendre en Biélorussie pour un séjour de moins de 30 jours n’ont plus besoin de visa.
Une randonnée glaciaire est l’occasion d’en apprendre plus sur les glaciers, mais aussi de profiter de superbes vues de ce désert de glace.
Le Blue Lagoon est-il toujours un passage obligé lorsque l’on voyage en Islande ? Pas vraiment. Victime de son succès, il peu décevoir. Heureusement, l’Islande regorge de sources chaudes. En voici trois, situées à distance raisonnable de Reykjavik.
Perché au dessus de Berchtesgaden, le village d’adoption d’Adolf Hitler, le Nid d’aigle est l’une des plus emblématiques constructions nazies. Contrairement au Berghof, la résidence du Führer située non loin, le Nid d’aigle a terminé la guerre intact et est devenu une attraction touristique importante.
Loin des clichés de la Vieille ville et du palais, quelques bâtiments construits à la période soviétique sortent – vraiment – du lot.
La chapelle mortuaire de Sedlec, décorée avec les os de 40.000 corps humains, est l’un des endroits les plus célèbres – et les plus insolites – de République tchèque. La petite ville voisine de Kutná Hora vaut aussi lune visite.
Ces trois villes, plus vieilles que La Valette, partagent la baie avec elle. Birgu, en particulier, mérite qu’on s’y attarde.
La Valette a beau être la plus petite capitale d’Europe, elle renferme tant de trésors architecturaux et de charmants dédales de ruelles qu’elle mérite au moins une bonne journée de visite.
La ville est-allemande de Chemnitz, appelée « Karl-Marx-Stadt » du temps de la RDA, est en pleine renaissance mais conserve des caractéristiques typiques de cette époque révolue.