A quelques kilomètres de Minsk se trouve un musée militaire en plein air, situé sur une zone où se trouvaient des fortifications de la ligne Staline – l’équivalent de la ligne Maginot de l’autre côté de l’Allemagne.
Le métro de Minsk est petit, deux lignes seulement (une troisième est en construction et une quatrième dans les cartons) mais a été construit dans la pure tradition soviétique.
La capitale biélorusse est surnommée la ville phénix car, détruite intégralement à 17 reprises, elle a toujours su renaître de ses cendres. Sa dernière destruction massive, pendant la seconde guerre mondiale, a permis aux architectes soviétiques d’en faire une ville modèle… selon leurs critères.
Bonne nouvelle, depuis peu, les Français désirant se rendre en Biélorussie pour un séjour de moins de 30 jours n’ont plus besoin de visa.
La ville est-allemande de Chemnitz, appelée « Karl-Marx-Stadt » du temps de la RDA, est en pleine renaissance mais conserve des caractéristiques typiques de cette époque révolue.
Entre Chemnitz et Dresde, ce beau château du quatorzième siècle mérite un petit détour.
Mon premier voyage « loin » et « en solo »… Un véritable coup de foudre qui ne demandait qu’à être approfondis. Il faut dire qu’en tant qu’enfant de la génération Club Dorothée, j’avais des dispositions pour apprécier ce pays.
En quelques décennies, ce « dragon » a fait un bond de géant et est passé de pays du tiers-monde à acteur majeur de l’Asie. Au-delà de ses gadgets qui ont envahi le monde, la Corée du Sud a su préserver son patrimoine et son histoire et s’est largement ouverte aux touristes.
Le migou ! Le Tibet, terre d’aventure, vous laissera probablement un souvenir aigre-doux, entre la richesse de sa culture et les violations flagrantes des droits des Tibétains par les Chinois.
Pays le moins aimé au monde, objet de tous les fantasmes, la Corée du Nord est une contrée qui s’avère pourtant pleine de (bonnes) surprises.