Samedi 25 avril Rome et moi, ça a longtemps été un rendez-vous manqué. Déjà en 2010, je me disais « il faut que j’y aille ». Puis je suis allé en Grèce. Puis à droite, à gauche. En me disant que « l’Italie, c’est à côté, je trouverai bien le temps d’y aller ».
Dimanche 26 avril Je commence la journée par un monument un peu moins prisé des touristes, les imposantes ruines des thermes de Caracalla. Inauguré en 217, il s’agissait d’un des plus grands établissements de ce type, qui pouvait accueillir plusieurs milliers de baigneurs en même temps.
Lundi 27 avril Je me dirige à nouveau vers le sud de la ville, pour visiter cette fois les catacombes de Saint-Calixte, les plus grandes de la ville. Elles sont situées en bordure de la Via Antica, une voie antique qui semble super intéressante à visiter, mais aux horaires d’ouverture peu pratiques (9-12h et 14-17h, comme les catacombes, alors visiter les deux en une fois est compliqué).
Mardi 28 avril Officiellement, je visite aujourd’hui mon 35e pays (36e en comptant la Transnistrie). Et il n’est qu’à quelques stations de métro de mon hôtel. Plus petit État du monde, la cité du Vatican a beaucoup à offrir au visiteur du passage, spirituellement ou artistiquement.
Mercredi 29 avril J’ai le temps de faire une dernière visite avant de prendre mon train pour Naples, à 12h36 : le musée national du Palazzo Massimo, qui se trouve juste en face de la gare (celui qui était fermé lundi). J’hésitais entre ce musée et le château Saint-Ange, mais c’était plus simple de venir ici. Je ne le regrette pas, vu sa qualité.
Jeudi 30 avril « Ce n’était pas seulement une nuit sombre et chargée de nuages, mais l’obscurité d’une chambre où toutes les lumières seraient éteintes. On n’entendait que les gémissements des femmes, les plaintes des enfants, les cris des hommes. L’un appelait son père, l’autre son fils, l’autre sa femme ; ils ne se reconnaissaient qu’à la voix. Celui-ci s’alarmait pour lui-même, celui-là pour les siens. On en vit à qui la crainte de la mort faisait invoquer la mort même. Ici on levait les mains au ciel ; là on se persuadait qu’il n’y avait plus de dieux, et que cette nuit était la dernière, l’éternelle nuit qui devait ensevelir le monde ». Lettre de Pline Le Jeune (61-114) à Tacite sur les évènements du Vésuve Le Jeune
Vendredi 1er mai J’ai décidé ce vendredi de parcourir la côte Amalfitaine, de Salerne à Sorrente. Ce n’est pas une brillante idée puisque, pour cause de 1er mai, peu de bus circulent. Mais je m’en suis rendu compte trop tard (c’est ça d’être en vacances, on ne fait pas attention aux dates).
Samedi 2 mai Après deux jours à avoir la fameuse chanson dans la tête, peut-être pourrais-je l’exorciser en allant sur place ?
Dimanche 3 mai Pour ce dernier jour à Naples (et en Italie), je refais un tour dans le centre-ville, extrêmement animé en ce dimanche matin.
█ Un long weekend à Florence en avril 2015 :
Vendredi 3 avril L’Italie était un peu une anomalie, quand je parlais de mes voyages : « comment ?! Tu n’y es jamais allé ? Mais c’est juste à côté ! » Eh oui, cela fait plusieurs années que j’envisageais de venir, mais à chaque fois une autre destination repoussait ce projet…
Samedi 4 avril J’arrive à Pise à 7h50, après avoir quitté Florence à 7h en train. En sortant de la gare, je me rends en trente minutes de marche au Campo dei Miracoli, la place des miracles.
Dimanche 5 avril J’ai prévu d’aller à Sienne avec le bus de 10:10 (qui circule en théorie « tous les jours »), mais il ne circule pas aujourd’hui, dimanche de Pâques. Je prends donc un billet de train (11h10) qui, par chance, est direct et ne me fera donc pas perdre trop de temps.
Lundi 6 avril Dernier jour à Florence : l’occasion de visiter les monuments que j’ai délaissé ce weekend pour aller à Pise et Sienne, notamment le splendide Duomo.
█ Et une visite rapide de Milan en juillet 2016 :
La deuxième plus grande ville d’Italie n’est pas aussi intéressante que Rome ou Florence. Ça tombe bien, je n’ai pas beaucoup de temps à lui accorder.